• Parce que les fleurs sont blanchesLeur mère est partie sans laisser d'adresse, mais les jumeaux Klass et Kees ainsi que leur petit frère Gerson forment une fratrie heureuse, entourée par leur père, sans oublier leur chien. Jusqu'à ce dimanche matin ordinaire, lorsqu'ils prennent une route de campagne bordée d'arbres fruitiers pour rendre visite à leurs grands-parents. Dans la voiture, la discussion pour savoir si les fleurs des poiriers sont roses ou blanches s'anime. Une priorité à droite non respectée, et Gerson, treize ans, se réveille à l'hôpital. Aveugle.
    Grâce à son art de saisir l'infiniment humain, en peu de mots mais avec une gamme infinie de nuances, Gerbrand Bakker nous raconte l'histoire déchirante de ce jeune garçon qui ne parvient pas à vivre dans le noir, mais aussi celle d'une famille unie dans sa volonté de surmonter l'épreuve.

    Mon avisParce que les fleurs sont blanches

    Déroutant.
    La narration est perturbante, le style d'écriture...
    L'histoire est pas mal, mais la façon dont elle est racontée est très... je trouve pas le mot.
    La fin est super triste en plus.
    J'ai pas détesté, mais j'ai pas aimé non plus.

    Partager via Gmail Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique